Et si l’on faisait un peu le ménage ? Depuis le rouleau compresseur Facebook, sorti en 2004, la nature des réseaux en ligne, allant de la simple messagerie à la plateforme de blog la plus sophistiquée, offre un vaste panel. Et certains sont bien plus éthiques que d’autres…
Le copywriting est un terme anglais qui se traduit par « rédaction publicitaire ». Ce métier existe depuis le jour où un humain a tenu une plume, enfin disons surtout depuis l’avènement du commerce, donc de la publicité… Il a explosé au cours de la seconde moitié du vingtième siècle.
Le moteur de recherche Unbubble (qui veut dire « déboucher »), est très peu connu des internautes. Pourtant, il a vu le jour il y a déjà quatre ans, en 2014.
Vous avez dû vous rendre compte que la fréquence de mes articles s’était réduite comme une peau de chagrin. En effet, j’ai multiplié mes tâches à partir d’un dimanche de l’été 2017 où je réfléchissais à tous ces jetons cryptographiques faisant de plus en plus parler d’eux, bien que le premier du genre existât depuis presque dix ans.
Vous avez décroché un rendez-vous professionnel. Super. Problème : l’entretien se passe à distance. Et plus le Jour-J approche, plus vous ressentez des sueurs aussi froides que pour un entretien IRL !
Le service de photos Picasa va fermer le 1er mai 2016 et tous les contenus se trouveront sur Google Photos, service apparu l’été dernier à la suite de la disparition de Google+ Photos… Le réseau social Google+ n’en finit pas de se chercher et de jouer avec des fonctionnalités.
J’ai finalement pris le temps de tester les « Collections », outil thématique dont on peut se demander ce qu’il a de différent avec les « Communautés ».
J’avais déjà raconté mes premiers pas sur Google+ il y a deux ans, alors que le réseau – qui arbore un nouveau design depuis novembre dernier – tâtonnait encore sur son positionnement, et semblait avoir du mal à attirer les francophones depuis son lancement en 2011.
Une vie passe très vite, mais lorsqu’en plus, vous tombez sur une période d’accélération et d’explosion des TIC, cela peut donner le vertige, surtout quand on jette un coup d’œil dans le rétroviseur… La question se pose alors : comment faisait-on sans Internet ?
Même si ça m’a pris du temps, j’ai enfin plongé dans la jungle googlisante mega plus plus. Comme je m’étais bien énervée sur la façon dont fonctionnait Facebook, réseau que je n’ai jamais supporté, je n’ai pas été dépaysée dans la mesure où c’est à peu près le même procédé. Ayant repéré la page de mon business en ligne sur G+ (j’avais une adresse gmail), je me suis décidée à gérer mon image professionnelle.
Évidemment, j’ai découvert que pour ce faire, il fallait d’abord posséder un profil perso. Je dois avouer avoir un peu hésité au moment de choisir une autre adresse gmail dédiée. Parce que, monopole oblige, ce réseau pousse à la fois à la consom’ et à la centralisation. Mais bon.
Ce faisant, j’ai donc ouvert l’année dernière mon profil perso Google+ où je me suis présentée.
Mais dans mon esprit, ce n’était pas pour le boulot, car un profil personnel reste quelque chose de souple, de libre. Je tenais à bien faire la différence avec une page pro créée pour mon activité professionnelle et actualisée de posts ad hoc.
Puis comme j’ai déménagé cet été, c’est seulement à la rentrée que j’ai trouvé le temps de gérer cette page « Entreprise ». J’ai suivi la procédure, et, bonne surprise, cela s’est très bien passé, et même plutôt vite. Google m’a envoyé en quelques jours un courrier avec mon code. Mon entreprise a été reconnue, acceptée et validée. C’était à l’automne 2013… Lire la suite « S’il te plaît Google+, dessine-moi un mouton… »→
Articles sur la disparition de l'écriture manuscrite