Le copywriting, une pratique solitaire

Le copywriting est un terme anglais qui se traduit par « rédaction publicitaire ». Ce métier existe depuis le jour où un humain a tenu une plume, enfin disons surtout depuis l’avènement du commerce, donc de la publicité… Il a explosé au cours de la seconde moitié du vingtième siècle.

Mais la notion de copywriter n’est pas toujours correctement perçue.
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Un saut au pays des ICO

Vous avez dû vous rendre compte que la fréquence de mes articles s’était réduite comme une peau de chagrin. En effet, j’ai multiplié mes tâches à partir d’un dimanche de l’été 2017 où je réfléchissais à tous ces jetons cryptographiques faisant de plus en plus parler d’eux, bien que le premier du genre existât depuis presque dix ans.

De même que la technologie associée : blockchain ou chaîne de blocs. Le mot magique une fois prononcé Lire la suite « Un saut au pays des ICO »

Correction post-rédaction : les 3V

La méthode des 3V

La post-rédaction recouvre toute la phase se situant après votre rédaction (print ou web).
Vous êtes satisfait, vous avez pondu un texte et n’avez qu’une hâte : le diffuser !
Mais avez-vous pensé à tout ?

La post-rédaction est une Lire la suite « Correction post-rédaction : les 3V »

Rédaction : le sens des mots

Le français est une langue merveilleuse. Mais attention à bien la maîtriser pour se faire comprendre. Pour cela, il n’y a pas de mystère, il s’agit, entre autres, de connaître la bonne définition du vocabulaire employé.
MEMEARNOLD

EXEMPLE
La Tribune publiait en juillet 2015 un article intitulé :
le digital n’épargnera personne !

(Les twittos surfeurs observeront d’ailleurs que la phrase utilisée dans la balise meta pour le SEO, contient, à la place, le terme « numérique ».)

Mais ici, c’est le verbe « épargner » qui questionne.

SIGNIFICATIONS Lire la suite « Rédaction : le sens des mots »

La titraille, ça se travaille (1)

Après les images, le titre est le point de lecture le plus important.

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Une titraille comme sur des rails

La titraille forme en quelque sorte les panneaux indicateurs dans la construction d’un article.

On pense principalement au titre, mais le sous-titre, le chapeau, les intertitres, les légendes (ou titres) accompagnant un encadré ou bien tout ce qui est visuel (en dehors de l’attribut « titre » d’une image), sont tout aussi importants.

D’ailleurs, l’internaute regarde plus souvent en premier l’image ET sa légende si elle en a une, avant le titre. Lire la suite « La titraille, ça se travaille (1) »

Les dérives de la rédaction Web (3/3)

On apprenait en juin que la start-up Textmaster levait des fonds conséquents pour son développement : une plate-forme qui est donc supposée rentable. Et pour cause… à 6 cts le mot !

Ce troisième volet sur la rédaction Web aborde l’aspect de la course à la rentabilité (pas la même pour tous).
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Rédaction Web : la facilité du content spinning

matrioshkaOn parle assez peu du terme spinning. Pourtant, ce qu’il cache se produit, hélas, depuis fort longtemps. Je veux parler du content spinning ou « essorage de contenu ».
En termes de production de contenu, c’est le fait de décliner un texte (un article, un billet), en le reprenant sous plusieurs formes stylistiques. Une pratique dont le seul leitmotiv est de séduire les moteurs de recherche…

De la rédaction robotisée en quête de référencement.

 

Pas d’éthique pour le black hat

imagesAu moyen de paraphrases, on change les termes pour créer différentes versions autour de la même information ou du même sujet. Cela se fait bien sûr automatiquement ou semi-automatiquement grâce à des logiciels qui vous délivrent de toute réflexion, tout en vous faisant gagner un temps non négligeable. Ce n’est pas un duplicata total, mais cela y ressemble. Simplement, on joue sur les mots.
En savoir plus.

Voici deux articles très intéressants à ce sujet :
Le Web à l’essorage
Google et le content spanning

Pour ma part, je ne suis pas pour cette façon de faire  – même si certains ont tendance à la rendre « propre » pour être adoubés par le white hat cette fois. Certains « rédacteurs » apparaissent même tout à fait décomplexés avec cette méthode, donnant des tuyaux à tout-va.

Cela me dérange, pas seulement parce que c’est à la fois déloyal et proscrit par Google, mais aussi parce que le style devient alors souvent n’importe quoi. Le texte est comme robotisé, sans âme. Car il en va également de la richesse du contenu, de sa pertinence, non pas en termes de SEO, mais de réflexion, d’interrogation, de forme (quid de la qualité de lecture ?), de réelle information, de qualité de débat, de partage, de transmission. Bref de hauteur de vue.

Nous sommes d’accord que la plupart des internautes lisent en diagonale. Mais pourquoi, au nom d’un enjeu de visibilité, leur présenter un style médiocre dû à des logiciels qui ne font pas dans la finesse ? Je suis persuadée que l’on peut allier les deux : informer et respecter le lecteur en lui offrant un style de qualité.

Cette pratique de content spinning va évidemment plus vite que de créer « à la main », de rédiger différemment en cherchant soi-même les synonymes. Place aux logiciels. Mais c’est alors uniquement l’info qui prime, même si c’est mal écrit. On nivelle tout, on s’éloigne de toute personnalité. Vous me direz que le style passe au second plan lorsqu’il s’agit de délivrer de l’actualité brute où le temps compte davantage. Certes.

Toutefois, engorger le flux et nourrir inutilement l’infobésité – source de surchauffe des data centers –, en créant moult versions, tout cela pour arriver le premier… C’est dommage et un peu facile.

Un exemple de doublon inutile

Lu sur le figaro.fr… :
Premier article mis en ligne le 2 octobre :
Une rue des tontons flingueurs à Nantes
Second article mis en ligne le 4 octobre :
Les tontons flingueurs font du barouf à Nantes

En plus d’avoir exactement le même sujet décliné, quasiment les mêmes mots-clés et un ou deux liens identiques (et des photos en NB issues du même film évidemment) – sans parler des coquilles –, ce doublon d’info n’a eu que très peu d’effet, l’information ayant été reprise seulement localement par Presse Océan et Ouest-France.

et exemple n’apparaît peut-être pas flagrant, mais pourquoi le même sujet à deux jours d’intervalle, alors qu’il aurait suffit d’actualiser le premier pour ajouter un lien ? (Question naïve bien entendu). Ces journalistes n’ont-ils rien d’autre à se mettre sous la dent en matière de sujets pour leur rubrique Culture ?  Si l’info en elle-même est sympathique, le sujet pouvait amener à trouver des angles largement plus éloignés. Ou alors, ils ne se sont pas concertés…

Souvent indétectable

Le problème est que cette technique passe souvent inaperçue. Les lecteurs ne sont pas (plus) habitués à faire la différence. Il faut avoir beaucoup lu pour « sentir » la prose mécanique, c’est normal. Si un duplicata (appelons un chat un chat), se retrouve en pole position sur les moteurs de recherche, il affichera un style de moindre qualité que son original, écrit au tout départ.

Là encore, dommage, ne serait-ce que par respect à la fois pour la richesse de la langue et pour le lecteur (voir plus loin). Et ne parlons pas des abondantes coquilles qui viennent « enjoliver » ledit texte, qu’il soit écrit par un humain ou réécrit par un robot d’ailleurs…

Info jetable et info de qualité

Alors évidemment, vous pensez que ce n’est pas grave, que ce qui compte, c’est le fond, le contenu, en l’occurrence l’information, mue de surcroît par une course de vitesse permanente.

Je serais (éventuellement) d’accord lorsqu’il s’agit d’une simple info concernant un scoop ou l’actualité, si bien sûr celle-ci a été vérifiée. C’est d’ailleurs bien pourquoi cette technique se développe, même en white hat, prétextant une diffusion tous azimuts sur des supports variés qui demandent des aménagements (cible, longueur, etc.).

Il n’empêche que cette pratique reste bannie par Google et, pour une fois, nous sommes d’accord.

En revanche, un article de fond ne peut s’en accommoder. C’est là qu’intervient la différence entre une réflexion, un billet original, personnel, argumenté, sur un sujet X ou Y, venant apporter quelque chose à la communauté, et le tout-venant soumis au résultat « algorithmesque ».

Question de point de vue sur la rédaction Web…

Vous l’aurez compris, je suis davantage pour un contenu unique, au référencement naturel et non forcé, que pour une course à l’échalote. Ou, pour paraphraser, davantage pour la qualité que pour le matraquage.

Un contenu de qualité doit être un pléonasme !

file000968573066Chaque rentrée rime souvent avec nouveauté…
Mais en termes de rédaction de contenu, une règle immuable semble prête à le rester : celle qui consiste à offrir un contenu de qualité.
Pourquoi ?
Parce que tous ceux qui se « nourrissent » sur le Web aiment en ressentir une satisfaction.

Un contenu devrait donc toujours tendre vers la qualité. Ainsi, la notion de « contenu de qualité » devrait être un pléonasme !

 

Qualitas : du latin « manière d’être »

Un contenu de qualité ? C’est un contenu utile…
D’accord, mais en réalité, au moins deux aspects se distinguent sur le Web :

(a) soit un contenu de qualité est considéré comme tel parce qu’il apporte du trafic (on recherche du chiffre, l’impact quantitatif passant avant le qualitatif au sens premier du terme) ;

(b) soit un contenu de qualité est considéré comme tel par la valeur de son information.
Les deux peuvent se retrouver parfois. Il n’en reste pas moins que tout ceci est très subjectif et dépend de nombreux paramètres qui pèsent dans la balance de vos objectifs.

Un contenu utile ? C’est un contenu qui a de l’intérêt. Lycée de Versailles d’ailleurs, on pourrait dire qu’un contenu intéressant est un contenu utile…
C’est un contenu qui va apporter quelque chose aux lecteurs. Mais pas forcément la même chose à tout le monde, ni de la même façon ; la valeur d’un contenu est à différents degrés.

Intérêt minimum : que le visiteur passe un moment agréable, sans ressentir qu’il perd son temps.

Intérêt maximum : que le visiteur reparte avec une information qu’il est content de savoir (ou qu’il savait déjà, mais qui le conforte) et/ou qui lui apportera une réflexion ou une réponse par rapport à sa propre activité et/ou, cerise sur le gâteau, une information qu’il partagera.

Nota : un contenu peut simplement faire sourire, faire rire, faire plaisir, faire réfléchir, rendre triste ou dubitatif, faire réagir, bref, toutes les réactions sont permises.

Qualités possibles pouvant caractériser un contenu :
original, informatif (du plus simple renseignement jusqu’au scoop), drôle, provocateur, explicatif, vendeur, partageur, riche d’exemples, revendicatif, analyste, bien écrit…

Dans ce flux continu et exponentiel d’informations venant grossir le Web chaque jour, qu’est-ce qui fait la différence d’un article par rapport à un autre ?
C’est justement la qualité, c’est-à-dire la valeur de son intérêt.

Or, ici, SEUL le visiteur-lecteur peut en juger, en ce qu’il conviendra à la fin de sa lecture que l’article lui aura apporté quelque chose.

Ne pas perdre son temps, apprendre, s’informer, se renseigner, savoir, réfléchir, argumenter, se former, jouer, acheter, rencontrer…, des millions d’internautes surfent pour des raisons diverses, à la recherche de données qui les satisferont.

Il peut s’agir d’une seule phrase qui sera venue apporter de l’eau au moulin d’une réflexion, ou bien d’un lien renvoyant à un contenu « miraculeux » (= encore plus intéressant).

La notion de valeur est donc très subjective.
Autant dire que si l’on souhaite apporter quelque chose aux futurs récepteurs, l’émetteur (le rédacteur) doit savoir à qui il s’adresse…

file0001513888393Cible à prendre au sérieux

Le rédacteur ne doit jamais oublier qu’il n’est pas seul au monde, qu’il écrit toujours pour autrui et qu’il doit avoir cet « autre » à l’esprit du début à la fin de sa rédaction.

Devant se le représenter (ou en tout cas en avoir une idée), il est donc impératif que chaque phrase qu’il tape soit sous-tendue par une capacité à se mettre à la place de l’autre. Empathie et psychologie sont par conséquent de rigueur, en plus du fait de maîtriser à la fois son sujet, sa façon d’écrire et les règles de la langue utilisée. Il s’agit de faire comme si le rédacteur était lui-même lecteur : « Qu’est-ce que j’aimerais lire ? »

Mais en dehors du champ marketing – où les vendeurs d’un produit connaissent en général assez bien le profil de leur clientèle habituelle ou de celle qu’ils visent –, définir une cible peut se révéler difficile.

En effet, on peut écrire pour plusieurs profils différents, le spectre étant très large, allant de pour tout le monde à pour soi. Les blogs personnels par exemple montrent souvent un journal intime plein d’autosatisfaction, centré sur la vie de son auteur : on écrit alors pour le plaisir.

Entre ces deux extrêmes, on sait que selon le thème abordé, le profil des lecteurs qui passeront par là sera plus ou moins le même ; on parle alors de « communauté » de « famille », de « tribu ».

Mais il peut aussi y avoir deux ou trois profils de cibles différents dans un même lectorat, ce qui peut parfois rendre la rédaction plus complexe.

Et quand bien même on fait ce qu’il faut, on ne maîtrise ni son lecteur ni sa réaction au moment où il découvre un contenu, quelle que soit la forme de ce dernier. Une chose est sûre : on écrit parce que l’on a envie ou besoin de transmettre, de partager une information.

Dans cette démarche, on respecte l’autre. Si on le respecte, alors le contenu offert doit être de qualité ; d’où la nature potentiellement pléonasmique de la formule citée en titre.

Pourquoi offrir un contenu de qualité ?

  • Parce qu’un contenu « vide » ne sert à rien, n’apporte rien intellectuellement : il pollue la toile, prend de la place inutilement, encombrant au passage des datacenters déjà en surchauffe et écologiquement discutables pour la planète.
  • Parce qu’un contenu pauvre est contre-productif.
  • Pour l’information.
  • Parce que la médiocrité dessert à la fois les humains et le développement de la société.
  • Parce que le but est quand même de satisfaire ceux qui tomberont sur votre contenu.
  • Parce qu’il peut finir par être bien référencé.
  • Parce que son impact rejaillit aussi sur l’image de son auteur.

Nature et destin d’un contenu de qualité

La notion de « qualité » est ambiguë

Qui peut qualifier un contenu si ce n’est celui qui en aura retiré quelque chose de positif ?

Si vous rédigez un contenu que vous considérez comme de qualité (selon votre propre définition de la chose), par exemple une longue réflexion sur un sujet pointu, celle-ci sera peut-être lue par seulement deux ou trois personnes soit parce que votre blog n’est pas connu, donc peu fréquenté, soit parce que le référencement de votre article sera resté comment dire… intimiste (ou au bord de l’autoroute de l’information si vous préférez).
Or, votre article peut très bien avoir une seconde vie : trois mois, un an, voire deux ans plus

tard, alors qu’un internaute passe par là et l’apprécie, le voilà qui le remet sur le tapis en en parlant, en le partageant. Un article qui dormait au fin fond de la toile peut très bien connaître un buzz en décalage avec la date de sa parution.

Inversement, un contenu sans plus de qualité que l’information brute qu’il véhicule pour vendre un produit ou un service, peut très bien exploser en termes de nombre de lectures et de buzz, puis être aussitôt oublié (un clou chasse l’autre…) et terminer au cimetière des éphémères.

C’est en fait son « buzz » qui aura marqué mais pas forcément la qualité intrinsèque de son contenu (en général assez pauvre en matière de marketing publicitaire d’ailleurs).

C’est ce qui fait la « magie » d’Internet, et surtout son grand mystère. On voit bien ici que, même si l’on essaie de tout calculer, la vie et le destin d’un contenu restent aléatoires. S’il y avait une recette pour séduire les algorithmes de Google, cela se saurait. Mais…

Panda traque le contenu de qualité par le bon bout

La définition originelle de « qualité » a été dévoyée par l’appel de la technique et les algorithmes mis en place par les moteurs de recherche. Le mot juste qui prévalait autrefois pour magnifier une prose a perdu de son intérêt, remplacé par le mot-clé qui sera repéré…

Ainsi, bien rédiger tout en utilisant les mots-clés ad hoc – pas forcément les plus jolis ou adaptés au style – servant un hypothétique SEO, et tout en pensant à ses futurs lecteurs, est un équilibre sur trois axes assez rare à trouver. (J’ai expliqué l’an passé ce que je pensais sur la question du contenu et du SEO).

La plupart des référenceurs n’ont pas la même vision du terme « qualité » en ce qui concerne le contenu web : les objectifs ont changé et jusqu’à il y a peu (la tendance est heureusement à nouveau en train de changer), seuls les liens pointant vers le site, action appelée linkbaiting (la pêche aux liens) étaient encensés et recherchés au détriment du fond, de même que le backlinking (liens retour) et le netlinking (échanges ou achats de liens hypertextes, et pêche aux backlinks…) ; c’est l’aspect (b) de mon premier paragraphe.

En réalité, tout dépend de ce que vous souhaitez faire de votre contenu

S’il est voué au marketing et au buzz, alors l’approche du référencement sera privilégiée, peu importe si le contenu est pauvre.

Si votre démarche est celle d’une réflexion plus longue, sans enjeux économiques au bout, et à destination d’un groupe de lecteurs avertis, alors l’approche privilégiera une rédaction classique, centrée sur un sujet fourni et bien écrit (de manière naturelle).

Selon les objectifs de celui qui écrit, un contenu ne sera pas travaillé de la même manière, même si le but commun est quand même d’être lu.

Comme la célèbre phrase lancée au Capitaine Haddock « dormez-vous la barbe en dessous ou au-dessus de la couverture ? », même si on a confiance dans l’intérêt de son sujet pour le lecteur, la question essentielle reste : dois-je rédiger pour plaire aux internautes ou pour plaire aux moteurs de recherche ? À vous de choisir la réponse pour pallier ce dilemme.

Conclusion

Vous l’avez compris, quelles que soient les interfaces, quels que soient les supports (numériques ou non) utilisés pour transmettre une information (donnée, actualité, publicité, réflexion nourrie, etc.), la valeur de l’information véhiculée est déterminée par celui qui le reçoit. Vous aurez beau faire votre maximum, dès publication, l’impact est quelque chose qui vous échappe.

Autrement dit, on ne peut pas vraiment affirmer qu’un contenu de qualité soit un pléonasme avant qu’il n’ait satisfait au moins un lecteur… C’est lui qui juge. Un contenu doit peut-être apporter un RSI, mais au bout, c’est l’internaute le vrai roi qui tranche…

Cela dit, essayer de faire en sorte qu’un contenu de qualité soit un pléonasme à chaque fois est un bel objectif !