Voici un article paru dans les Échos, que pour ma part j’ai lu en entier, et qui a récemment attiré mon attention : “La plupart des internautes partagent des articles sans les avoir lus.”
On y découvre qu’environ 60 % des articles ne seraient pas lus avant d’être partagés ! C’est beaucoup.
La post-rédaction recouvre toute la phase se situant après votre rédaction (print ou web). Vous êtes satisfait, vous avez pondu un texte et n’avez qu’une hâte : le diffuser ! Mais avez-vous pensé à tout ?
Le service de photos Picasa va fermer le 1er mai 2016 et tous les contenus se trouveront sur Google Photos, service apparu l’été dernier à la suite de la disparition de Google+ Photos… Le réseau social Google+ n’en finit pas de se chercher et de jouer avec des fonctionnalités.
J’ai finalement pris le temps de tester les “Collections”, outil thématique dont on peut se demander ce qu’il a de différent avec les “Communautés”.
J’avais déjà raconté mes premiers pas sur Google+ il y a deux ans, alors que le réseau – qui arbore un nouveau design depuis novembre dernier – tâtonnait encore sur son positionnement, et semblait avoir du mal à attirer les francophones depuis son lancement en 2011.
Le français est une langue merveilleuse. Mais attention à bien la maîtriser pour se faire comprendre. Pour cela, il n’y a pas de mystère, il s’agit, entre autres, de connaître la bonne définition du vocabulaire employé.
EXEMPLE La Tribune publiait en juillet 2015 un article intitulé : le digital n’épargnera personne ! (Les twittos surfeurs observeront d’ailleurs que la phrase utilisée dans la balise meta pour le SEO, contient, à la place, le terme “numérique”.)
Mais ici, c’est le verbe “épargner” qui questionne.
Après les images, le titre est le point de lecture le plus important.
Une titraille comme sur des rails
La titraille forme en quelque sorte les panneaux indicateurs dans la construction d’un article.
On pense principalement au titre, mais le sous-titre, le chapeau, les intertitres, les légendes (ou titres) accompagnant un encadré ou bien tout ce qui est visuel (en dehors de l’attribut “titre” d’une image), sont tout aussi importants.
Je ne sais pas pour vous, mais en 2016, je suis encore à chercher des boutons de partage en haut, en bas ou sur le côté d’un article, bref quelque part sur la page que l’on souhaite… partager.
Vous pensez que je délire ? Pas du tout : encore aujourd’hui, certains sites (même importants) n’affichent toujours pas de boutons de partage sur leur blog ou dans leurs Actus.
Le cas des boutons cachés :
Début janvier, je tombe surcette info sur le site de BPI France à propos de start-up. Souhaitant la tweeter, j’ai repéré l’icône “partager” (en gris en haut de l’article), par laquelle passer pour ouvrir les boutons (au moins, il a une fonction). C’est une pratique courante maintenant. Seulement elle signifie pour le visiteur deux clics au lieu d’un… Lire la suite “Où sont vos boutons de partage ?”→
Après le ‘fact checking’ pour la politique, devra-t-on faire du ‘meaning checking’ pour la presse ?
Le titre bilingue de ce billet semble radical. Pourtant la question peut se poser. Comment le journalisme a-t-il pu en arriver à de si grossières erreurs ?
Je ne parle pas des éternelles coquilles, mais de la façon de s’exprimer et d’utiliser les mots correctement. On rencontre parfois du n’importe quoi !
Des titres à la mitraille
Il y a d’une part le vocabulaire employé, lequel est souvent source de confusion ; il y a d’autre part l’orthographe, la syntaxe, la grammaire, parfois malmenés…
La Social TV, ou la télévision sociale est le phénomène qui grandit dans une logique d’évolution de l’interactivité, portée par Internet via les réseaux sociaux depuis le début de leur apparition.
La social TV, éphémèrement sociale, se cherche encore
Une émission pilote en matière de Social TV en Belgique : MonStory, la première du genre (dixit) à être présentée (animée) par un community manager et non plus par un animateur classique (ça se voit un peu que ce n’est pas son métier, mais bon).
En réalité, elle n’offre rien de transcendant, elle parle de technologies, et de temps en temps cite un tweet… Le format est assez classique avec un plateau, un public et des reportages.
Qui dit rédaction dit formulation. Mais le contenu d’un site n’est pas fait que de phrases ; sa structure nécessite divers termes pour les titres et les onglets, placés comme autant de “pancartes” d’information à l’attention du visiteur. Le mot anglais Wording s’utilise de plus en plus pour résumer cette pratique.
Wording = Formulation
En marketing de contenu, on voit souvent passer le terme anglais wording qui, littéralement, veut dire “faire des mots”. Le verbe français “Formuler” était pourtant très bien et très clair… Lire la suite “Wording, anglicisme pour dire formulation”→
Une ligne éditoriale est obligatoire lorsque vous communiquez en ligne de manière professionnelle pour diffuser des messages réguliers. Découvrez 7 points à définir absolument avant de vous lancer. Lire la suite “Ligne éditoriale, l’atout infernal”→
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